L’ENTONNOIR

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L’ENTONNOIR

L’Entonnoir

Création 2005

Proposition de Quentin Siesling et
Nicolas Réveillard

Regard : Marie-Angèle Vaurs

 

Distribution

Écriture : Nicolas Réveillard et Quentin Siesling

Interprétation: Nicolas Réveillard et Quentin Siesling

Propositions scéniques  : Marie-Angèle Vaurs

Direction d’acteurs:  Marie-Angèle Vaurs

Vidéo : Bruno Wagner

Musique : Boris Billier

 

A propos du spectacle

L’ENTONNOIR  tient son nom de l’espace dans lequel se déroule ce spectacle, espace très ouvert face public et qui va se rétrécissant précisément comme un « entonnoir » avec, au fond du goulot, une ouverture permettant le flux et le reflux des corps, des personnages, des objets  …
Des tentures blanches servent de cloisons et permettent des projections vidéos le transformant en permanence.
Dans cet univers mystérieux, fantasmagorique, en perpétuelle mutation vont évoluer 2 personnages improbables, venus de nulle part.
Le spectacle a été construit comme un script de cinéma, muet en l’occurrence.
Les corps parlent, les visages, les attitudes, les objets s’animent, le réel s’échappe et la poésie s’installe dans une grande liberté de formes, « proches de ces grands précurseurs perturbateurs « dadaïstes» (Serge Pey).

Extraits de presse

[La Dépêche – Jean-Luc Martinez – 20 décembre 2005]
« Entre Tati et le Théâtre du Radeau, « l’Entonnoir » entraîne le champ de vision très loin dans l’espace scénique… Cette pièce qui ne se raconte pas, doit être vue avec curiosité, sans préjugés, avec l’aptitude à se laisser déborder par l’émotion et entraîner dans un univers poétique. Bruno Wagner qui signe la vidéo parvient à sublimer le réel grâce à des images d’un onirisme envahissant… »

[Nouvelles 31 – Gilbert Baqué – 9 mars 2006]
« … Le rêve y est silence. L’imaginaire, voire l’inconscient, un langage. Marie-Angèle Vaurs dirige cette troublante partition sans un seul défaut de mise en forme, sans esbroufe, et dépasse de loin la fausse poésie, tout faux onirisme dont un « surréalisme » de pacotille aurait pu, habilement faire son miel. …
Il y a du Edward Hopper dans la pureté de certaines images, du Tati dans la démarche burlesque et touchante d’un Hulot réinventé, et même du Buňuel, ou du Tanguy dans un inoubliable tableau final … »

[Serge Pey, poète – 14 décembre 2005]
« … L’Entonnoir, dans le jeu magnifique de ses comédiens-auteurs, nous donne à manger un rire qui rêve et un rêve qui rit.
Aussi un message venu de l’anniversaire de Dada dans une parole de notre temps.
L’absurde est ici un poème en vers libre mais sans parole. Un absurde renversé qui devient une logique du réel qu’on ne voit pas. Du théâtre de l’Acte au poème de l’acte, l’Entonnoir est devenu soudain notre tornade. »

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