vmware 이미지 다운로드 크롬 usb sphere 다운로드 이스이터널 Download the iPad typeface
Les modules

Les modules exposés ci-dessous sont étroitement liés aux parcours artistiques des formateurs.
Pour en savoir plus, consultez la page Formateurs

  • Les auditions pour la session novembre 2020 > avril 2021 se dérouleront du 10 au 14 septembre 2020.
    Les candidatures doivent être envoyées avant mi-juin 2020.

    Déroulé des auditions

    Premier jour de l’audition :
    Il est demandé à chaque futur stagiaire de présenter un petit travail à partir d’un texte, éventuellement d’une danse ; préparation totalement libre. Cette présentation individuelle ne doit pas dépasser 5 minutes.
    Nous ne souhaitons pas que des personnes qui ne participent pas elles-mêmes à l’audition soient présentes. Si vous avez besoin d’une (ou un) partenaire, nous vous invitons à la (le) trouver le jour de l’audition parmi les candidat(te)s.

    Par ailleurs, nous proposons nous-mêmes des exercices (tenue de travail souple exigée).
    Ce premier jour se termine par des rencontres individuelles avec chacun des candidats.

    Deuxième jour : l’audition se poursuit avec des exercices divers que nous proposons.

    Au terme de ces 2 premiers jours, nous établissons une première sélection.

    Les 3 jours de stage qui suivent sont destinés à tous les candidats que nous estimons à même de suivre la formation.
    Au final, 12 candidats seront admis.

  • Animé par Katharina Seyferth, comédienne

    dates : du 8 au 19 mars 2021

    Dans ce module, sont proposées des improvisations à partir des moments forts de l’histoire personnelle de chacun. Chaque improvisation va être structurée à l’aide d’actions physiques.
    Puisque dans l’être humain les niveaux psychologiques et physiques sont inséprablement unies, la réalisation sincère de l’action physique sont inséparablement unis, la réalisation s’incère de l’action physique amène l’acteur à l’émotion sincère.
    L’action physique est comme un « appât » pour une émotionL
    Les acteurs vont être sensibilisés, par l’action et à l’aide de leur propre vécu, au procès psycho-physique du comportement humain.

    Autres axes de ce module :
    – Forme physique
    – Conscience du corps dans l’espace
    – Perception
    – Vigilance
     
    Consulter la biographie de Katharina Seyferth
  • Animé par Jean-Marc Richon, comédien et musicien

    dates : du 16 au 20 novembre 2020

    Depuis 1998, Jean Marc Richon développe une transmission qui favorise la présence, la recherche du sens, entre la maîtrise des codes propres au rythme (l’horizontalité) et la musicalité (la verticalité), le sensible et le vital.
    Le rythme et la musicalité comme outils de travail, de recherche, pour retransmettre, pour préciser le sens d’un propos créatif, réveiller les mémoires de la voix, du corps et de l’espace.
    Ce sont des bases essentielles sur lesquelles s’appuyer pour créer et saisir une dimension primordiale du vivant; la communication physique avec soi-même, l’autre, les autres, le silence (exister tout en laissant la place).
    C’est par l’apprentissage d’un vocabulaire simple et de son utilisation précise que l’on va explorer, improviser, écrire, composer, articuler, jouer pour rendre cohérent le sens de la matière complexe (voix, corps, espace) et l’esprit du jeu (laboratoire du sens et du sentiment).
    Dans le théâtre et la scène contemporaine il est nécessaire à l’acteur de rendre palpable certains rapports intimes, de les confirmer dans une expérience charnellement impliquée, quelque soit son « style ».
    Savoir utiliser ces qualités ouvre des portes, entre autres, au sens et à l’écoute, par, pour le jeu de la langue, du corps (geste, mouvement, déplacement), de l’espace (solo, trio, chœur).

    Consulter la biographie de Jean-Marc Richon

  • Animé par Michel Mathieu, directeur de la formation 

    dates : du 2 au 6 novembre 2020 – du 18 au 29 janvier 2021

    Dans ce module nous inversons le travail classique sur le texte où l’acteur se limite à interpréter un texte selon le message qu’il contient, et une image préconçue du personnage ou de la situation.
    Ici le texte est pris comme un outil, il devient pour l’acteur le chemin de la révélation de son authenticité comme un scalpel dans une mise à nu de l’acteur, pour accéder à ce « mentir vrai » qui doit convaincre le spectateur et le partenaire de jeu.
    Il s’agit donc pour l’individu, avec les mots du texte, les situations qu’il recèle entre partenaires de jeu, d’atteindre ces zones sensibles et cachées où il va révéler sa vie profonde.
    Une fois atteinte cette couche de fragilité, l’acteur est appelé à dompter son émotion pour l’agir, dans une partition objectivée, en toute conscience. Le texte est alors investi d’une force et d’une conviction qui appartient à l’individu en propre, sans perdre son sens pour autant son sens fondamental.
    Partant des situations posées dans une scène, seul ou en duo ou en trio, l’acteur fait appel à sa mémoire corporelle pour rechercher les équivalences qui lui permettent d’aborder les mots ou les actes d’un personnage, avec l’aide de l’observateur-accoucheur, de ses partenaires de jeu, et le regard actif du groupe.
    Les diverses scènes proposées vont du répertoire le plus ancien au plus contemporain, de la tragédie au burlesque en passant par le grotesque.
    Une discussion préalable sur les scènes retenues permet d’en extraire les enjeux, les partenaires travaillent ensuite une étude qui pourra servir de point de départ à la quête de l’engagement qui constitue l’objectif. L’objectif n’étant pas de « monter » une scène, on l’aura compris, mais de vivre et produire une heure de vérité.
    Parallèlement à ce travail, des exercices sur l’implication du corps, le rapport à l’espace et au temps, l’action vocale amènent l’acteur à comprendre comment il doit aborder le travail sur le texte et son rapport au partenaire.

    Consulter la biographie de Michel Mathieu

  • Animé par Marie-Angèle Vaurs, comédienne et metteur en scène

    dates : du 7 au 18 décembre 2020

    Il s’agira pour le participant d’aller sur le terrain de la création à partir de ses propres écrits et des écrits réalisés collectivement, de libérer les inhibitions par rapport au fait même d’écrire. Les stagiaires seront confrontés à des contraintes d’écriture qui les empêcheront de s’installer dans un savoir faire. Ces contraintes ouvrent des champs d’explorations inattendus ; elles permettent de découvrir d’autres façons d’aborder l’écrit et amènent chacun à s’étonner de ses propres écrits.
    Cela demande une disponibilité à l’imprévu, une obligation de s’adapter immédiatement,  d’accepter d’être en déséquilibre, de s’appuyer sur les autres, les écrits des autres.
    Il s’agit de faire circuler les énergies au maximum entre tous, chacun pouvant être amené à travailler sur l’écrit d’un autre. Ainsi la moitié du groupe pourra réaliser une scène écrite par l’autre moitié 
    Au fur et à mesure de l’avancée du travail, les exercices vont se complexifier, prendre appui sur des supports divers (musique, peinture, poésie), donnant lieu à des écrits et à des mises en espace avec des objets. Entre alors en jeu une donnée supplémentaire importante : la prise en compte de l’espace, des exigences de l’espace. Les stagiaires deviennent en quelque sorte des metteurs en scène ; ils sont confrontés à l’aspect matériel du théâtre. Quelque chose se joue en dehors même du comédien, par la manière dont les objets sont disposés dans l’espace et par les positions des acteurs dans cet espace. Cette prise de conscience est essentielle et libératrice d’une pure conception psychologique de l’investissement dans la création.
    Les stagiaires sont donc mis en permanence dans une situation de création passant du langage du corps au langage de l’écriture ou inversement, de l’écriture au théâtre ou inversement dans un va et vient très dynamique entre toutes ses approches.

    Consulter la biographie de Marie-Angèle Vaurs

  • Animé par Dominique Collignon, comédien

    dates : du 23 novembre au 4 décembre 2020

    On partira des tirages comme canevas pour des improvisations individuelles et collectives.
    Au travers des arcanes majeures et mineures, l’acteur produit sa mère de vinaigre.
    Par le Tragi- grotesque, il incarne et peut tenir à distance les drames intimes et les interprétations divinatoires, mystifiantes et magiques du Tarot de Marseille, qui pour certaines figures, peut rappeler ses liens avec la commedia dell’arte.

    L’acteur et lui seul, expérimente et interprète chaque figure du jeu.
    Si le formateur propose certaines clefs, ce n’est que pour amorcer par analogie son imaginaire.
 En se confrontant à ce livre d’images qui jamais ne nous serait parvenu si le vice du jeu ne s’en était saisi, l’acteur en s’appuyant sur ce patrimoine symbolique et séculaire peut faire une approche critique des questions qui occupent le présent. (Questions de genre, de sexe, de mœurs, de politique, de procréation, de migration, d’autorité, de patriarcat…)
.
    Jouant avec une entière liberté de penser et toujours sans se figer dans une interprétation dogmatique du Tarot, l’acteur fait avec lui ce que Dante fit avec Virgile : cheminer en poète au plus profond des enfers sans risquer de s’y fixer ou perdre. 

    Consulter la biographie de Dominique Collignon

  • Animé par Deneis Debrei, danseur et chorégraphe

    dates : du 1er au 12 février 2021

    Mémoire du Corps
    Cri de naissance, le souffle de la mort, l’équilibre de la vie ».
    La mémoire du corps. Nos cellules connaissent beaucoup d’informations, et les portent cachées sous plusieurs couches. Notre objectif est la découverte, l’utilisation et la libération de la carte du corps. Développer un nouveau langage du corps en mouvement qui pourra éventuellement devenir une danse, Une danse qui était déjà au fond de nos cellules.
    Le stage sera la recherche d’une harmonie des contraires, pour l’utiliser dans la danse. Cette danse pourra être pleine d’énergie ou vide, rapide
    ou lente, harmonique ou dis-harmonique.
    La danse, le mouvement, dans l’instant de la représentation, peut exprimer, à travers le corps du danseur, le passé et le futur d’un espace donné.
    La qualité du corps qui bouge, qui danse, qui reste immobile, dépend pleinement de ce qu’il est, au moment d’être sur scène. C’est cet être qu’il va rendre visible en diffusant son influence dans le lieu où il est. Pour se rapprocher de cet état qu’on appelle « présence scénique », nous nous concentrerons sur l’état physique, la relaxation du corps et sur des exercices pour notre imagination dans la créativité. 

    Des exercices :
    – individuels, qui nous permettrons d’aller à la rencontre de nous – mêmes en
    intégrant nos expériences et la singularité du corps de chacun.
    – à deux : ce qui nous poussera à connaître nos partenaires (l’expérience de  ce
    que l’autre corps porte), mais aussi à trouver les multiples modes de
    communication entre deux corps, échanger, partager, recevoir.. 
    – en groupe : ce qui nous permettra de trouver notre place avec et au milieu des autres.

    L’existence de l’espace interne et externe :
    L’espace extérieur est le milieu dans lequel l’artiste travaille, crée et existe,
    qui l’ inspire, motive et tonifie — lui / elle
    Nous, les organismes vivants, créons l’espace, ou est-ce l’espace qui nous forme ?
    L’équilibre et l’équilibre de l’espace dans lequel et à cause de laquelle les mouvements interprètent notre espace intérieur tout ce que nous portons, tout ce que nous expérimentons avec nos organes sensoriels (ouïe, vision, goût …), chaque expérience mentale et physique.

    Notre espace externe et interne ont-ils ce type d’influence l’un sur l’autre ? Qui est le souffleur ? Où et comment est né l’existence de l’artiste créateur ? Que faisons nous pour charger l’espace et notre existence – pour reconstituer la qualité de notre présence et de notre existence dans les espaces internes et externes donnés ?

    Manipulation:
    Une partie importante et indispensable du processus de travail passera par la méthode de manipulation en sept parties concernant la construction du corps, pour repousser les limites articulaires, musculaires et psychologiques des participants, méthode développée par le danseur japonais Min Tanaka.

    Consulter la biographie de Deneis Debrei

  • Animé par  Jean-Marc Matos, danseur et chorégraphe 

    dates : du 5 au 15 janvier 2021

     Spectacle vivant et arts numériques
    Les séances proposées par Jean-Marc Matos mettent en avant à la fois un travail sur les outils d’écriture en danse contemporaine (outils de composition, danse/théâtre physique, expression par le corps au sens large, intégré avec des moyens technologiques), et sur l’appropriation-création avec des outils numériques (vidéo numérique, dispositifs interactifs, logiciels, etc.) appliqués à des fins de mini réalisations artistiques, en particulier dans le contexte du spectacle vivant.
    Cet module permet d’expérimenter divers outils technologiques combinant la vidéo, la musique et l’informatique ainsi que l’adaptation d’interfaces geste-son-image au service d’une réalisation qui implique le corps dans des situations très variées. Est proposé en particulier le logiciel Isadora, pour la programmation graphique d’interactions et de traitement temps réel de données audio et vidéo.
    Il s’agit de développer une courte réalisation vivante qui allie un dispositif technique particulier avec un travail chorégraphique porteur de sens dans l’intégration ainsi mise en jeu.

    Création avec dispositif interactif. 
    Inter(actions)
    Dans un environnement vidéo comprenant un dispositif “interactif” (cadre avec écran semi-transparent, caméra connectée à un ordinateur, lumière latérale, sonorisation) est proposé un travail créatif qui intègre, à partir d’improvisations dirigées, une interaction développée avec une caméra de “tracking” utilisée comme capteur optique pour le système informatique préparé à cette intention (logiciel Isadora).
    La journée commence par une préparation physique adaptée. Sont proposés des exercices d’échauffement suivis de mises en situations favorisant l’improvisation, la perception de soi et du groupe, la mise en valeur de l’expérience proprioceptive, la créativité corporelle et le contact avec l’autre.

    Objectifs
    Faciliter l’accès à des créations innovantes, questionner le rapport au spectateur, soulever et partager des interrogations à la fois esthétiques, philosophiques, sociales, quand la danse s’hybride avec les technologies numériques.

     

    Consulter la biographie de Jean-Marc Matos

  • Animé par Séverine Astel, comédienne, metteur en scène

    dates : du 22 février au 5 mars 2021

    Lire un texte
    Ce que cache un texte
    Décrypter les signes laissés par l’auteur sur le papier qui sont autant de clés pour l’interprétation
    Du texte à la parole
    Plonger dans la langue inventée d’un auteur, éprouver comment elle avance
    S’approprier le cheminement de la pensée d’un auteur
    Réinventer le texte dans le présent du dire

    D’où ça parle ?
    Parce qu’il y a 1000 raisons et manières de prendre la parole au théâtre et de l’adresser

    Où ça parle ?
    Parce que le jeu de l’acteur n’a de sens que par rapport à son adresse

    On lira ou relira certains théoriciens du théâtre :
    Artaud, « Le théâtre et son double »
    Brecht « Petit organon pour le théâtre »
    Brook « L’espace vide » ou « Le diable c’est l’ennui »
    Regy « L’ordre des morts » ou « Espaces perdus »
    Bond « Commentaires sur les pièces de guerre » ou « L’énergie du sens »
    Et d’autres théoriciens comme Georges Banu, Antoine Vitez, Bernard Dort, Daniel Mesguich, Diderot, Aristote…

    Il sera demandé d’apporter un ou deux textes de théâtre particulièrement appréciés ou questionnant sur leur forme et le jeu qu’ils appellent.
    Une immersion au milieu des livres, des discussions et des tentatives d’interprétations.
    Nous aborderons quelques textes anciens et classiques car il me paraît important d’avoir conscience que le théâtre est un art mouvant qui sans cesse incorpore et rejette des parties de son histoire. Nous privilégions les écritures contemporaines avec l’intention de vous faire partager l’intérêt pour les textes d’aujourd’hui.

     Consultez la biographie de Séverine Astel

  • Animé par Laetitia Boyault, comédienne

    dates : du 9 au 13 novembre 2020

    On part ici à la découverte des possibles vocaux de l’acteur et du potentiel créatif qu’ils recèlent.
    Une série d’exercices et de techniques précises permet d’aborder la voix comme action vocale parlée ou chantée en positionnant l’acteur en tant que corps vocal scénique.
    Dans ce cadre, il s’essaie aux relations existantes entre action vocale et action physique non-vocale en conscience des outils proposés et à l’épreuve d’un texte.

    Le travail comporte trois phases complémentaires :
    – la mise en place d’un training vocal collectif précis,
    – la découverte du travail spécifique de la voix parlée pour le comédien,
    – une approche du chœur et de la voix chantée.

    Se rendre disponible au travail avec bienveillance et exigence, se prémunir de tout forçage vocal, saisir les outils pour travailler
    physiologiquement son corps vocal d’acteurs et d’actrices.
    Éprouver l’outil de jeu que peuvent représenter les actions vocales vis-à-vis d’une parole scénique.
    Mettre en place une choralité dans l’improvisation ou dans la contrainte pour expérimenter la dynamique collective et l’écoute tout en permettant à chacun-e de se donner individuellement.

    30h

     

    Consulter la biographie de Laetitia Boyault

  • Mise en place d’une création, sous la direction de Denes Debrei, à partir des travaux réalisés au cours de la session de formation.
    Présentation les 14, 15 & 16 avril 2021 (sur invitation obligatoire – nombre de places limitées)

 
 
 
 
 
 
 

Création

Mise en place d’une création, sous la direction d’un des formateurs, à partir des travaux réalisés au cours de la session de formation basée sur la thématique choisie pour l’année.

Cette création sera ouverte au public : mi-mai 2018