- 1968
- 1969
- 1970
- 1971
- 1972
- 1973
- 1974
- 1975
- 1976
- 1977
- 1978
- 1979
- 1980
- 1981
- 1982
- 1983
- 1984
- 1985
- 1986
- 1987
- 1988
- 1989
- 1990
- 1991
- 1992
- 1993
- 1994
- 1995
- 1996
- 1997
- 1998
- 1999
- 2000
- 2001
- 2002
- 2003
- 2004
- 2005
- 2006
- 2007
- 2008
- 2009
- 2010
- 2011
- 2012
- 2013
- 2014
- 2015
- 2016
- 2017
- 2018
- 2019
- 2020
- 2021
- 2022
- 2023
- 2024
- 2025
Année propice aux décisions folles, création du Théâtre de l’Acte.
Influence du Living Théâtre et des recherches de Grotowski, « Tout-Homme », « le Nez » (d’après Gogol).
Diffusion de Tout-Homme, du Nez, de Croisades
Septembre : installation de la compagnie au Château de Persin-Bas et réparation du site.
Intervention théâtrale dans les rues de Toulouse, par une scène moquant la participation aux élections législatives.
Participation aux stages organisés par le Centre Dramatique du Sud-Est, avec le Studio 2, Ingemar Lindh.
Stage à Persin-Bas avec Françoise Chatot et Adonis Vouyoucas
Poursuite de la participation aux stages d’Aix-en-Provence, stages avec l’Open Theater, Philippe Adrien, Jerzy Grotowski et Richard Cieslack.
Création et diffusion de « Clôture », et préparation de « L’Odyssée ». Une équipe de l’ORTF (Antenne 2) filme nos entraînements et certaines scènes en répétition pour le Magazine du théâtre.
La compagnie s’installe temporairement à Toulouse, quittant le Château de Persin-Bas et répète Cestas à partir d’un texte proposé par Michel Mathieu.
La compagnie aménage un lieu à Toulouse dans le quartier Arnaud-Bernard, La Fabrique Arnaud-Bernard qu’il ouvrira, en plus des spectacles, à des ateliers de théâtre et de musique, des tables-rodes, des conférences des expositions et des performances plastiques.
Parallèlement, elle publie un manifeste sur le théâtre « Le cadavre travesti ».
« ANTI-MONTAGE » POÉTIQUE – improvisations
Autour de trois poèmes d’Henri Michaux, nous renouvelons l’expérience tentée avec « Contre » en élargissant les propositions de jeu. Il ne s’agissait ni de faire une lecture psychologique des textes, ni de les illustrer mais d’en faire une relecture corporelle, vocale, spatiale, d’où jaillissent des signes précis et évidents.
Plus précisément le mode du « volcan » met en place un chœur vocal propulsant l’acteur pour énoncer une phrase, « correspondance » enchaîne geste, son, phrase dans l’inspiration des associations. L’espace est également sollicité, construction et destruction, recomposition de l’espace en résonance avec l’énonciation du texte. L’improvisation appuyée sur ces codes renouvelle à chaque fois la perception du poème.Cette proposition a été donnée dans plusieurs lycées de la région.
Nous trouvons un nouveau lieu rue Gay-Lussac, une pièce étroite d’une Quinzaine de mètres que nous nommerons l’IREA (Institut de Recherches et d’Echanges Artistiques) géré avec le trio Hic et Nunc.
S’y dérouleront des ateliers à travers lesquels nous trouverons de nouvelles recrues, et où nous allons créer nos prochains spectacles, à côté de performances et d’expériences comme le « Cirque rétinien » de Ly Than Tien ou « L’ignoble » de Luc Cornet.
Création d’une compagnie de Théâtre Universitaire à l’Université Jean-Jaurès, avec une première réalisation PRÉNOM KASPAR d’après Peter Handke, ms Marie-Laure Denoyel et Jean-Marc Novis.
Ni récit, ni analyse sociologique, ce spectacle est une méditation, un poème où se mêlent burlesque et tragique, imaginaire et réalité, à l’image de Kaspar Hauser: celui que l’on exhibe et que l’on exclut, sur qui on écrit, on fait du théâtre. Comme lui l’acteur doit faire ses preuves, inventer, toujours satisfaire la curiosité publique jusque’à déposer ses propres limites… Une première partie se jouait à l’extérieur.